Do more, talk less…

talk

Certains événements survenus récemment m’ont remémoré ce précepte. Précepte que j’essaye d’appliquer de plus en plus aussi bien dans ma vie personnelle que professionnelle.

Fervent adepte du minimalisme, je suis en permanence confronté au « dilemme du prisonnier ». Prisonnier de ma propre psyché qui contrôle mes interactions avec le monde extérieur, et par là même mes actions.

Par conséquent, j’ai fait le choix pour la suite de raccourcis considérablement la longueur de mes publications sur ce blog. Car quand sait ce qu’on veut, on n’a pas besoin de 1 000 mots pour exprimer sa pensée.

Moi de superflu et place donc à l’essentiel.

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