Citations inspirantes de Gordon Gekko, magnat de la finance dans le film « Wall Street » interprété par l’acteur Michael Douglas.
– Si tu as besoin d’un ami, trouves-toi un chien.
– Tu vois ce bâtiment? J’ai acheté ce bâtiment il ya dix ans. Mon premier investissement immobilier. Vendu deux ans plus tard, j’ai réalisé un bénéfice de 800.000 $. C’était mieux que le sexe. A l’époque je pensais que c’était tout l’argent du monde. Aujourd’hui, c’est mon salaire d’une journée. Tout n’est qu’une question de dollars fiston! Le reste c’est de la conversation.
– Ce n’est pas une question d’en avoir suffisamment ou pas, mon pote. C’est un jeu à somme nulle, quelqu’un gagne, un autre perd. L’argent en soi n’est pas perdu ou gagné, c’est tout simplement transférés d’une perception à une autre.
– Ce qui vaut la peine d’être fait vaut la peine d’être fait pour de l’argent.
– Le bien le plus précieux que je connaisse est l’information.
– Je parle de liquide. Assez riche pour avoir ton propre jet. Assez riche pour ne pas perdre ton temps. Cinquante, cent millions de dollars mon pote. Ou rien.
– La cupidité est bonne.
– Tu m’appelles 59 jours d’affilée, car tu veut être un acteur. Et c’est bien. Il devrait y avoir une photo de toi dans le dictionnaire sous le mot « persévérance » fiston.
– Je ne lance pas des fléchettes sur un mur. Je parie sur les valeurs sûres. Lis L’Art de la guerre de Sun-Tzu. Chaque bataille est gagnée avant même d’avoir lieue.
– Le 1 pour cent des gens les plus riches de ce pays possèdent la moitié des richesses de notre pays, cinq cent milliards de dollars. Pour un tiers d’entre eux, ça vient du travail acharné. Les deux autres tiers proviennent de l’héritage, et des intérêts sur les intérêts qu’on verse aux veuves et aux fils idiot. Et ce que je fais, la spéculation immobilière et boursière, c’est des conneries. Vous avez quatre-vingt dix pour cent de la population américaine là-dehors avec très peu, ou zéro actif net. Je ne crée rien. Je suis propriétaire. Nous faisons les règles, mon pote. Les infos, la guerre, la paix, la famine, les bouleversements, les prix… Nous sortons le lapin du chapeau pendant que tout le monde est assis là-bas se demandant comment diable nous avons fait. Maintenant, tu n’êtes pas assez naïf pour penser que nous vivons dans une démocratie, n’est-ce pas mon pote? C’est le marché libre. Et toi tu es une partie de celui-ci. Tu as cet instinct de tueur. Reste là mon pote, j’ai encore beaucoup de choses à t’apprendre.
– L’argent est une pute qui ne dort jamais et tu dois être prudent, car un matin tu pourrais te réveiller et constater qu’elle s’est tirée.
– Tu sais ce qu’est la folie … faire la même chose encore et encore et espérant un résultat différent.
regarde ça