Pour savoir dire je t’aime Il faut savoir dire avant tout « Je ». – Ayn Rand –
Le post d’aujourdhui sera peut être être le plus personnel jamais écrit sur ce blog à ce jour. Depuis la création de ce blog, je n’ai que très peu dévoilé des aspects de ma vie personnelle. Exempté dans quelques articles comme confessions d’un loser, le manifeste du self-made man, etc. Aujourd’hui, circonstances oblige, j’ai décidé de m’ouvrir à vous d’une façon encore jamais faite auparavant. Je vais parler de choses me concernant que seuls mes amis les plus proches savent. Comme vous l’avez certainement constaté, je ne parle quasiment jamais de ma vie privée. C’est une part de moi que je gardais jalousement à l’abri des regards…du moins, jusqu’à maintenant…
Amour. Ame-Soeur. Relation. Mariage…
Il y a de nombreux sujets dans la vie qui causent beaucoup de désespoir. L’amour est l’un d’eux. Plus précisément, le célibat et les ruptures amoureuses.
Je le sais parce que je suis célibataire depuis…72h, et paradoxalement je me sens plus fort que jamais. Enfin, c’est ce que je me dis! J’ai constamment entendu des gens seuls autour de moi regarder d’un regard envieux les couples (y compris le mien), se lamenter sur leur propre célibat, de la médiocrité de leurs relations, se demander pourquoi ils ne rencontraient pas quelqu’un de spécial, quand est-ce qu’ils allaient rencontrer l’âme soeur, si jamais cette ame soeur existait seulement, et ainsi de suite. Même en surfant sur le net, je tombe fréquemment sur les commentaires de gens soupirant sur leur situation de célibataire et sur la difficulté de rencontré LA bonne personne.
Célibataire = Incomplet ?
D’une certaine manière, la société en général semble entretenir la conviction que nous ne devenons des personnes complètes que quand nous avons trouvé notre partenaire de vie – notre âme sœur. Cette croyance est confirmée par de nombreux facteurs qui nous entourent, tels que le bonheur qui émane des gens autour de nous qui sont en couples, la vision romantique des couples entretenue par la télé, les pressions sociales et familiales, etc.
La société semble avoir dépeint le célibat comme une sorte d’une maladie, plutôt qu’un état parfaitement bien en soi. Pour cette raison, le célibat est devenu un sujet associé au désespoir, surtout si vous avez plus de 25ans. Beaucoup de gens croient (à tord) qu’ils seront incomplets jusqu’à ce qu’ils aient trouvé leur âme soeur.
Le désespoir et le célibat
Cette vision conduit à l’anxiété, au désespoir, à la peur de se retrouver seul; ce qui pousse certains à multiplier les tentatives foireuses de trouver LA personne. Ils pensent à leur situation de solitude tous les jours, chaque fois qu’ils voient des couples, à chaque fois qu’ils voient ou entendent parler d’amis qui se sont mis en couples, à chaque fois ils sont témoins d’un mariage, et à chaque fois que la Saint-Valentin approche.
Le problème de ces actions entraînés ou partiellement entraîné par le désespoir, c’est que l’objectif d’avoir une relation n’est là que pour concrétiser une forme idéalisée de bonheur. On finit par se mettre en relation pour le bien de se dire « en couple » plutôt que par réel amour inconditionnel.
Ce désespoir conduit à deux résultats possibles. Dans le premier cas de figure, on attire et des relations sous-optimales. On se met avec des gens qui ne sont pas bon pour nous, ne nous élèvent pas à devenir de meilleures personnes ou ne nous traitent pas avec le niveau de respect qu’on mérite; ce qui entraine un sentiment constant d’insatisfaction. Dans l’autre cas, on déprime et l’on est déçu parce qu’on n’arrive pas trouver LA personne de nos rêves ou quand on rompt avec notre ancien partenaire qu’on imaginait comme LA personne idéale.
Les relations et moi.
Comme je disais donc, je suis célibataire au moment donc où j’écris ces lignes. Il y a eu des filles qui sont entrées dans ma vie. Certaines m’ont profondément marquées, d’autres quasiment pas. J’ai autant d’amis de mon âge qui ont été seuls quasiment toute leur vie que d’amis qui sont en couple avec la même personne depuis le collège.
Depuis le fameux collège, je n’ai jamais vraiment eu du mal à nouer des relation étroites avec des filles. J’ai appris très tot qu’être très intelligent était un atout de taille. Même si je m’entendais super bien avec elles, je n’accordais aucune spéciale attention à une fille en particulier. C’était en partie parce que mes parents autoritaires avaient décrété que je n’étais pas apte à avoir une relation jusqu’à ce que j’ai obtenu mon diplôme…universitaire (oui, ce sont vraiment des gens traditionnels). Même si je n’adhérais pas à cette idée, je crois qu’inconsciemment, elle a joué un rôle dans la façon dont j’ai géré mes relations au cours de mon adolescence, et par la suite également.
A la recherche de Madame Parfaite…
Très tot, j’ai commencé malgré tout à rechercher Mme parfaite avec qui j’allais finir mes jours (sur le modèle parental). C’est durant ces années collèges que j’ai connu mon premier amour…et ma première amère déception. A peu près au même moment qu’elle, j’avais fait la connaissance de sa meilleure amie. Cette dernière est devenue un bonne amie (au collège), puis une très bonne amie (au lycée), puis une copine (à la fac), puis une ex.
Comme j’étais ouvert à la perspective de trouver quelqu’un de spécial, j’ai entre temps appris à connaître plus de filles. Au fil des ans, j’ai côtoyé diverses types de filles. Cependant, je n’ai jamais trouvé LA bonne parmi elles. Puis, j’ai l’ai rencontrée. Elle n’étai pas parfaite; loin de là. Elle était très très éloignée de l’image sage, respectueuse et soignée que je m’était toujours faite de la femme parfaite. En plus nous n’avions même pas les mêmes valeurs, ni la même culture. Mais elle avait un truc… ce truc que je ne saurais expliquer… c’était peut être ça l’amour… Du moins, c’est ce que je croyais…
…Frustrations et ruptures…
J’ai vécu une belle histoire. Mais encore une fois, ça s’est terminé en queue de poisson il ya quelques jours. Nous venions pourtant de nous retrouver après plusieurs mois séparés. Dès lors, j’ai eu différentes hypothèses. Peut être n’était-ce pas la bonne personne pour moi, ou peut être c’est moi qui n’était pas la bonne personne pour elle, ou peut être la trop grande différence culturelle était en cause…? C’était l’occasion une n-ième fois de faire mon introspection. Je me demandais s’il y avait quelque chose d’anormal chez moi. Je me demandais si j’allais jamais rencontrer quelqu’un qui me comprendrait enfin ou bien si j’allais être seul pour le reste de ma vie. Je me demandais si ce n’étais pas à cause de ma situation professionnelle incertaine? Je me demandais si mon âme-soeur n’était pas morte accidentellement à un certain moment et que je n’allais probablement jamais la rencontrer. Je me demandais si j’avais même une âme soeur pour commencer. Je n’ai jamais vraiment cru à ces foutaises. Il y avait dans mes pensées une certaine teinte de désespoir quand je pensais à mon avenir, en ce qui concerne aussi bien les relations avec les autres qu’avec moi même. C’était frustrant. Je me suis assis et j’ai pris le temps de vraiment réfléchir à cette question. Je ne comprenais pas pourquoi un truc comme être en couple pouvait en fait conduire quelqu’un à un tel niveau de malheur. Les relations ne devraient elles pas être destinées à nous rendre heureux? Ne sont-elles pas censées apporter au mieux une joie infinie et au pire alléger le poids des épreuves de la vie?
…Jusqu’à ce que je réalise que je suis complet.
Mon introspection a finalement abouti à une réalisation. Toutes les frustrations, les colères, et les attentes vis à vis des relations sont apparues parce que je cherchais à travers ces relations des pièces manquantes au grand puzzle de ma vie.
Par exemple, j’ai plusieurs fois repoussé certaines choses que j’avais envie de faire dans ma vie simplement parce que j’attendais de trouver LA bonne personne pour le faire. Je nous imaginais acheter une maison ensemble, créer un compte d’épargne commun pour nos futurs enfants, etc.
La vérité est que je suis déjà complet par moi-même. Je n’ai besoin de personne pour ouvrir un Plan Epargne Logement à ma banque aujourdhui. Je peux déjà placer une partie de mes économies sur un fond d’assurance-vie. Juste parce que je suis célibataire ne veut pas dire que je devrais mettre ma vie en attente.
Je regardais une relation comme deux moitiés formant un tout, alors que la vraie définition devrait être « deux ensembles formant un plus grand » . Une fois libéré de cette limitation de ma perception, mon point de vue vis à vis des relations a radicalement changé. J’ai cessé de formuler des attentes vis à vis des relations et de la façon dont elles devraient êtres menées. J’ai arrêté de chercher à vouloir la relation parfaite avec la femme parfaite. Je suis devenu moi. Je suis devenu vraiment et parfaitement heureux dans le célibat.
Est-ce que cela signifie que je ne veux plus de nouvelle relation? Non, comme la plupart des gens, j’aspire à être en couple. La différence est que ce désir de la présence d’autrui dans ma vie a cessé d’être enraciné dans la peur de ne pas y arriver tout seul. Et pourtant…
Sur ce, je m’en vais préparer l’héritage que je lèguerais à la postérité. 🙂
C’est propre! Je m’identifie complètement à ton introspection.
c’est un très joli billet et une réflexion intéressante. je te souhaite de trouver THE femme pour construire ta postérité 🙂
ChaCha
ps : si tu as besoin d’infos sur l’assurance vie, n’hésite pas.
C’est parfait. Je me reconnais également dans cette article.
Egalement :p
Cet article est en accord avec mon état d’esprit, belle introspection.
J’ai fait ce constat étant très jeune. ( 15 ans )
Lorsque mon entourage me demandait sans arrêt pourquoi j’accordais peu d’importance à être en couple avec un homme comparée à mes autres copines, je répondais que je m’étais construite seule.
Contrairement, à beaucoup lors de mon adolescence, je n’avais pas de petits amis, donc je n’avais pas eu de garçons pour me dire quoi faire, comment me soumettre, comment m’habiller, comment me comporter.
J’ai toujours été de celle qui allait chercher les moyens de me débrouiller seule, d’être complète avant d’aller exiger de quelqu’un son affection ainsi que son temps .
Ce qui paraissait anormal aux yeux des gens : » Est-elle lesbienne ? Est-elle assexuelle ? Pourtant elle n’est pas si vilaine, loin de là »
Les hommes sont déroutés car à la question
Qu’est ce que tu as à m’offrir ? Ils me répondent souvent : de l’argent, des vêtements, des voyages, des restos, des bijoux
Réponses totalement à coté puisque je peux m’offrir toutes ces choses.
Le tout est selon moi d’avoir des aspirations et projets communs avec quelqu’un tout en gardant les siennes sans faire de l’autre sa vie mais de lui faire une plus ou moins grande place dans la sienne selon son importance ..
Comment confier sa vie à quelqu’un lorsque la personne n’attend que nous pour pouvoir s’élever ??
En tout cas bon courage, pour ce retour au célibat !
G sui totalmnt daccord avc g te lit petetr een retard mai ta repnse est en faz avc ma pnse et c est cela mem ma vision de la vie … Et le plu dingue c k g realiz la mem ka tro vouloir plair o otres g arrete de me plair a moi mem heureuzmnt pr moi il ne pa tro tard et la g reaprnd a maimer et a nen fair ka ma tet kit a etre vu com etrange o moins g maim ainsi… Super pour la maturite akiz si tot…
Pour qu’un couple tient il faut beaucoup plus que l’amour. Il faut de la tolérance et surtout des projets en commun. De vrais projets, un Plan Epargne Logement ne suffit pas ! En plus, au cas des cultures différentes, il faut être ouvert, il faut être prêt à apprendre, à dialoguer et à changer d’avis. Ca ne veut pas dire que tu ne peux pas avoir ton jardin secret. Au contraire ! Mais tout ca ne suffit pas : Si tu ne t’aimes pas, tu ne sauras jamais aimer une autre personne. Et cet amour n’a rien à voir avec de l’égoisme !
La lionne
Bon billet! Mais je pense qu’au delà de la perception personnelle que tout le monde se fait des relations amoureuses ou des attentes de relations en couple, après la phase d’introspection et de remise en question, on finit toujours par trouver une raison pour relativiser…
Mais en couple, on donne toujours une partie de soi, on fait toujours des concessions, des privations, et se dire qu’on est complet parce qu’on est célibataire c’est toujours l’impression qu’on a quand on veut se convaincre qu’on est mieux seul… Toutefois, je reconnais que le célibat a cet avantage de procurer ce plaisir de se retrouver (seul) avec soi-même, de revoir ses priorités et tout comme tu l’as fait apparemment 😉
je n’ai pu m’empêcher d’esquisser un sourire en lisant ton billet….c’est tellement… euh…. ce que je vis …
Courage dans ta non-recherche de la femme parfaite, apparemment c’est ce qui marcherait le mieux en ce moment… moi je suis dans ma non-recherche du prince charmant, très bonne théorie, à part que je crois qu’il a dû se paumer en route , mais bon…je m’en fous j’ai un PEL 🙂
Bon courage dans ta non-recherche donc. 🙂
Bonjour Néo,
J’aime souvent lire tes posts, d’une part parce que c’est très bien écrit, mais surtout parce qu’on a presque le même âge. Puisque je suppose que tu es de 86 aussi (d’après ce que j’ai compris).
Par contre pour cet article, je ne suis pas vraiment d’accord lorsque tu dis: « Je suis devenu vraiment et parfaitement heureux dans le célibat. »
C’est vrai que c’est personnel, subjectif et tu justifies bien tes propos. Mais je ne pense pas qu’on puisse réellement être heureux dans le célibat. J’ai bien compris qu’ensuite tu espérais bien être en couple, ça c’est sûr. Mais si tu espères être en couple, c’est qu’il te manque quelque chose. Donc, tu n’es pas totalement heureux encore…
Bon, c’est mon point de vue. Sinon continue de nous enrichir de tes expériences, j’aime bien surfer sur ton site, car ça me permet de voir comment quelqu’un qui a presque, mais vraiment à 70% le même parcours que moi.. (à l’exception que je me suis marié cette année, avec la même avec qui je me vis, je me dispute, je rêve, je pleure, etc.. depuis 4 ans et que bientôt on sera parent.).
J’ai aussi connu le célibat. C’est vrai que ça a ses avantages, mais tu dépenses aussi trop quand tu es célibataire (drague, ciné, diner, fringues, etc…) bon après, c’est subjectif. Mais je pense qu’être en couple c’est trop le top! Tous tes achats sont ciblés, vous mutualisés les coûts, etc… Surtout avec une fille de chez nous, qui aussi fait des études sup’. C’est vraiment le top. Bon, ce n’est que mon point de vue.
Bon, je m’arrête, j’ai pas envie d’être trop bavard.
@ Yann,
Merci pour tes compliments.
Lorsque je parle d’être heureux dans le célibat, il s’agit biensur d’un Etat subjectif et très personnel. Et puis, je pars du principe qu’il vaut mieux être seul que mal accompagné non?
J’estime être mal accompagné dès lors que je suis avec des personnes qui ont ce besoin d’amour permanent, source de souffrances multiples. De nombreuses personnes (dont mon ex) souffrent de ce phénomène, qui est hélas souvent auto-aggravant. Plus elles souffrent, plus elles exigent de l’autre (et des autres), mais comme c’est fait souvent de manière excessive ou agressive, elles ne font qu’éloigner un peu plus les autres, ce qui amplifie leur souffrance…
Même si tout le monde aspire à être en couple, je ne pense pas que ce soit pour les mêmes raisons. Certains recherchent juste la personne qui leur fera oublier la détresse de leur solitude. D’autres (j’en fait partie) seraient juste heureux de rencontrer une personne avec qui ils partageront cette fascinante aventure qu’est la vie sans nécessairement avoir le stress permanent de finir seul.
Comme disait Hugo, la solitude est bonne aux grands esprits et mauvaise aux petits. Elle trouble les esprits qu’elle n’illumine pas
By the way, félicitation pour ton couple. 🙂
Hello
Pffiou je me reconnais également dans ce billet… Personnellement ma rupture date d’une dizaine de jours et j’ai beaucoup de mal à m’en remettre. Pourtant je suis l’initiatrice de la rupture, mais j’ai rompu tout en aimant toujours, ce qui pour moi était totalement inconcevable et limite « contre nature ».
Car pourquoi quitter quelqu’un que l’on aime toujours? pour un tas de raisons… Car on donne plus que l’on reçoit, et qu’il y avait également dans ma situation des différences culturelles difficiles à dépasser dans certains cas.
Et puis une relation stable et saine se construit à 2 à mon sens, ce qui n’était pas le cas.
Deuxième longue relation ou je quitte la personne pour les quasi mêmes raisons : paumé, pas de boulot, pas un rond, pas d’efforts pour faire bouger les choses alors même que j’ai été patiente et que j’ai fais des concessions de mon côté.
Mais au bout d’un moment vient l’ultimatum pour essayer de lui faire avoir le déclic : « si tu te bouges pas tu vas me perdre », et dans les 2 cas ça n’a eu absolument aucun effet. Et je les ai quitté.
Bon le premier je n’étais plus amoureuse au moment de la rupture (seule et unique raison pour laquelle on peut se séparer à mon sens, avec la tromperie certainement), ce qui fait que ça a été moins douloureux. Mais le dernier j’y croyais à mort, à tord visiblement.
Bref, tout ça pour dire que ton billet est optimiste et me fais du bien. Je sais que j’arriverai un jour à remonter la pente, lentement mais surement.
Merci à toi donc et bon courage.
Neo, bonjour
(ou Bonsoir ),
Ton témoignage est à la fois touchant et édifiant.
D’accord avec Ayn Rand et avec toi. On devrait pouvoir aimer sans dissoudre notre personnalité dans l’amour.
Comme si le challenge c’est d’aimer sans se faire vampiriser par l’autre.
Mais je ne sais si mon post arrive à point nommé pour te réconforter malgré tout. S’il est trop tard, cela pourrait signifier que tu as trouvé la dulcinée conforme à tes aspirations.
Sinon, cette dulcinée, je te la souhaite de tout coeur !
Ton histoire m’a fait penser à ce que certains hommes disent sur le chapitre de la femme à épouser.
Il paraît qu’un homme doit savoir s’il veut une femme au tempérament faible, une amoureuse dépendante affective; ou plutôt une femme forte, amoureusement autonome.Ce choix serait, semble t-il, déterminant pour une relation harmonieuse.
Dis comme ça, on pourrait croire que c’est facile. Mais le propre de l’amour n’est-il pas d’échapper mystérieusement à la compréhension et au contrôle ?
Je ne suis ni pasteur ni prêtre, mais si tu veux méditer sur la profondeur abyssale de l’amour, le chrétien que je suis ne saurait trop te recommander la lecture du chapitre 13 de la Lettre de l’apôtre Paul aux Corinthiens ( 1 Corinthiens 13 –
la Bible, Nouveau Testament ).
Bien à toi, et bon courage !
P. – S. Merci infiniment pour tout ce que tu fais pour les autres à travers ton éducation, ton bagage intellectuel et tes expériences.
En effet, tu débarques un peu!
Ce post commence à dater et ça un un moment que je suis passé à autre chose (même si je n’ai pas encore trouvé la bonne) 😉
Have forgottent to comment this post, nevertheless i feel myself in the same case!!
Good introspection